Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode. aujourd'hui, ça va être un épisode assez authentique ou je vais parler du sujet dont j'avais prévu de parler. Mais vous allez m'entendre un peu là, un peu plus lent. Je me sens pas au top, mais je me suis dit que c'était quand même pas mal de vous offrir de l'authenticité parce qu'en règle générale, On a tendance à toujours partager nos moments.
On a beaucoup d'énergie, on partage, j'en parle souvent sur les réseaux sociaux, on parle, on partage toujours tout ce qui va bien aujourd'hui, ça va pas du tout, quoi. J'ai vraiment un mauvais jour. J'imagine que ça arrive à tout le monde. Je me sens pas bien, je suis un peu malade, j'ai mes règles, je suis très fatiguée, je suis gonflée, j'ai de l'allergie.
C'est pas vraiment une belle journée pour moi. J'me sens pas belle d'ailleurs aussi, mais ça fait partie de la vie parce que je suis un être humain comme tout le monde. Et j'entends d'ailleurs souvent dire Mais tu [00:01:00] es coach et tu devrais pouvoir gérer ça. Alors oui, gérer ça, ça ne veut pas dire toujours être au top et toujours être positif.
Et c'est aussi accepter ces moments. On se sent pas bien et être coach, ça ne veut pas non plus dur qu'on a le bonheur au bout de la porter au bout des doigts en de façon constante donc. Je vais utiliser un peu comme exemple dans ce sujet. Mais aujourd'hui, ce que je voulais vous parler, c'était du rôle de cerveau.
Parce que quand on parle de développement personnel, on entend beaucoup parler de nos cerveaux. d'une façon très simpliste aussi et d'ailleurs je vais essayer de de le résumer et de descendre toutes les informations d'une façon très simple et plutôt pratique aux pratiques. Mais peut être que beaucoup de personnes, et c'est ce que je vois aussi moi en interaction, ne comprennent pas trop pourquoi on parle du cerveau et du rôle de nos cerveaux et pourquoi on mentionne autant nos cerveaux et [00:02:00] comme si finalement n'avait aucun pouvoir sur eux et eux avaient tout pouvoir sur nous, donc nos cerveaux.
en première partie. Ils ont surtout des fonctions pour nous servir. Oui, ils ont des fonctions, chacun ont des fonctions bien précises et ils cohabitent ensemble. Et on a une interaction en permanence avec nos trois cerveaux. Aujourd'hui, on va parler de notre cerveau tri unique. qui est composé du cerveau primitif que vous entendez souvent parler de notre cerveau humain, le cerveau préfrontal cortex ou néo cortex et de notre cerveau limbique, notre cerveau des émotions.
et pour comprendre le rôle de nos cerveaux, c'est un petit peu important. Je vais faire une petite, une petite introduction un peu scolaire, mais de comprendre d'où ils viennent, comment ils se sont formés. On va dire et quel est le rôle de rester avec moi? Je vais vous ensuite vous dire un peu justement, comment adapter, comment [00:03:00] utiliser et optimiser le rôle de nos cerveaux.
Donc nous sommes tous porteurs de notre évolution, non? Et cette histoire, elle a démarré avec notre cerveau primitif, notre cerveau reptilien. Vous allez souvent entendre que les cerveaux on leur donne. plusieurs noms et ça veut dire exactement la même chose au cerveau animales. Le cerveau reptilien, le cerveau primitif et lui qui est notre premier cerveau.
Il a la fonction, elle a eu, il a toujours d'assurer notre survie, donc de se reproduire, de boire, de manger. il est. Il est vraiment le berceau de nos mémoires et de nos émotions archaïques. Et quand je parle d'émotion arc et je parle de nos émotions de base qui ne sont pas si nombreux que ça, finalement, on parle plutôt de la peur.
On parle du dégoût, on parle de la colère et le principe de ces émotions. Et là, je vais vous faire une petite référence à mon épisode numéro dix huit sur les émotions, l'émotion en italien et mauverret en anglais innocents. à cette [00:04:00] fonction de nous mettre en mouvement vers l'extérieur pour, quelque part, nous protéger de quelque chose qui pourrait se passer à l'extérieur ou de nous indiquer la route.
À suivre donc, ce cerveau primitif qui est le moins évolué. c'est aussi le plus réactif car il a cette fonction de nous faire agir vite. Par exemple, comme si, par exemple, une voiture qui va écraser votre enfant au fou à quelqu'un. Donc il nous rattache à toutes ces émotions primitives de base qui exerce cette fonction de survie qui qui nous exerce cette fonction de réactions.
Et quand on parle d'ailleurs d'intelligence émotionnelle, c'est presque une erreur. Parce que on devrait plutôt parler d'intelligence sentimentale, sentimental, un ressenti qui vient du mental c'est-à-dire qu'on ment alise, puis on ressent les émotions d'internes. Et là, je vous renvoie à mon épisode numéro vingt quand je parle du modèle de Brooks, le modèle de pensée nos pensées, créer nos émotions par rapport à toute la conversation qu'on a dans [00:05:00] notre tête.
Mais quand on parle des émotions primitives, d'émotion, archaïques, on parle des motions qui sont très rapide. On parle d'émotion et je la mets dans un contexte aussi d'urgence, comme par exemple un accident de voiture. Ce sont des émotions qui vont nous faire réagir, qui vont nous faire bouger très vite.
Et puis on va les analyser. avec l'évolution, on à le cerveau limbique. On peut dire aussi le cerveau mammifères qui a fait son entrée. Et là, on commence à mettre un pied vraiment dans l'univers émotionnel, l'univers des sentiments, comme je vous disais avec ce cerveau commence à penser plutôt confort pour son environnement, pour ses relations.
C'est lui qui nous a qui nous pousse à essayer de chercher ce plaisir. Et ensuite on a le cerveau néo cortex, le cerveau préfrontal, cortex, le cerveau humain qui est le cerveau de la pensée, qui est le cerveau du sens. C'est lui qui installe une logique de fonctionnement pour se projeter dans le futur.
Ce cerveau lui recherche [00:06:00] vraiment cette vision, ce sens. d'ailleurs souvent les Je vois beaucoup de gens me dire mon boulot n'a pas de sens. Je vais avoir une fonction, quelque chose qui a du sens dans la vie dans le monde. Donc, comme je le disais, on a une interaction en permanence avec ses trois cerveaux car ils ont une fonction, une utilité et et chacun a son importance.
Donc lorsqu'on commence à prendre conscience de nos cerveaux, on peut commencer à optimiser leur utilisation en les alimentant. quelque part parce que quand on comprend que on a un cerveau humain qui a un besoin de sens, quand on comprend qu'on a un cerveau primitif qui a besoin de se sentir en sécurité parce que sa fonction c'est la survie et quand on a un cerveau émotionnel qui lui a plutôt cette recherche de confort, de plaisir, parce que c'est là aussi que va naître notre motivation et toutes ces pensées qui vont créer la motivation.
on peut commencer à se poser la question, par exemple quand on démarre un projet, parce qu'en règle générale, je [00:07:00] parle d'objectifs, impossible d'atteindre un objectif quand on démarre un projet est-ce, qu'on répond aux besoins de nos cerveaux. est ce qu'on répond à notre besoin d'assurer notre survie quand on parle de survie?
Aujourd'hui, dans les années deux mille vingt, on parle de survie, peut être plutôt matérielles, plutôt financière. Une survie plutôt de santé. Est ce qu'on répond à nos besoins de confort, pour qu'il y ait du plaisir, pour que cela, pour que le projet soit motivant? On va dire ça va plutôt être la forme du projet.
non est-ce que ce projet va nous apporter un côté et est-ce qu'on répond aux besoins de notre cerveau humain qui lui a besoin de sens, qui a besoin de cette vision, Qui a besoin de cette projection, qui a besoin de cet épanouissement? et d'ailleurs, C'est assez intéressant de faire le lien quand on parle dans le monde de Cachin, de la pyramide de Maslow et de la [00:08:00] pyramide de ses besoins dont il écrit.
Ça correspond complètement aux besoins de nos cerveaux. et on peut se poser la question aussi de si on arrive à répondre à nos besoins est-ce, qu'on aurait autant de conflits dans le quotidien Est-ce, qu'on aurait autant de conversation interne dans notre cerveau, justement de cette bataille. Et là, je prends l'exemple de mon état.
Aujourd'hui, je me sens vraiment pas bien et aujourd'hui toutes mes pensées, on va dire, sont conduits par mon cerveau primitif. par rapport à cet instinct de survie. Parce que je suis fatigué parce que je me sens pas bien, parce que je me verrais bien dans mon lit toute la journée à me reposer et du coup, le cerveau ses cerveaux pour vous mettre un filtre dans votre quotidien.
Et là aujourd'hui, moi tout ce que j'aborde et sous le filtre de mon cerveau primitif. qui veut me dire Mais non attends, tu sens pas bien, tu vas mourir [00:09:00] la abandonne tout n'enregistre pas de podcast en plus, aujourd'hui c'est le week-end de l'ascension. Tu devrais pas être en train de travailler, tu devrais être en train de profiter.
et soit j'ai le choix de créer un drame sur ça et de dire non, c'est pas possible, mais qu'est ce que je vais faire? Je me sens vraiment pas bien, c'est vrai, mais du coup j'ai plein de boulot et j'ai des lignes. Je me suis engagé, mais je veux aussi le faire parce que ça a du sens. Donc soit je dépense beaucoup d'énergie dans ces conversations et D'ailleurs, je l'ai fait quand même ce matin parce que je suis un être humain aussi et je me perds dans mon propre cerveau.
C'est toujours beaucoup plus facile d'observer les problématiques des autres que regarder les siennes. Mais quand il y a un moment, j'arrive à faire une pause et une rencontre à temps en temps. C'est juste que là, je ne suis pas en train de répondre aux besoins de mon cerveau primitif d'une. Ça me permet un peu de verser d'eau dans et [00:10:00] d'ajuster et d'adapter.
Parce que quand je suis dans un état comme ça, il y a un moment aussi. Je sais que ça sert à rien de tirer sur la corde et est-ce qu'il n'y a pas des choses que je peut alléger ou simplifier. et d'ailleurs je suis entrain de simplifier ma méthodologie maintenant aujourd'hui pour enregistrer ce podcast parce que je suis crevée.
Donc je me dis Bon alors attends moi ce qui est important parce que ça a du sens, même pour mon cerveau humain, c'est d'honorer mon engagement, mon agenda et les choses que je vais avancer parce que je veux atteindre certains objectifs. Et donc il y a des pas, on va dire à suivre maintenant. comment je peux répondre à mes besoins aussi pour pas que ce soit une torture quelque part.
Et là, c'est là, on parle de niveau de conscience et et c'est là où ça prend du sens quand on parle du rôle des cerveaux et de développement personnel. Et c'est pour ça que c'est autant en lien parce que quand on commence à élargir son niveau de [00:11:00] conscience, son niveau de conscience, c'est pas ça veut pas dire qu'on a une lumière de plus que les autres.
C'est juste qu'on a de la conscience sur nos besoins. On est à l'écoute aussi de notre corps et quand on arrive aussi à être à l'écoute de notre corps et on arrive à se comprendre son fonctionnement On est beaucoup plus à même aussi de comprendre le fonctionnement des autres et ce niveau de conscience.
Il est assez clés d'ailleurs dans la relation avec les autres, parce que quand on travaille par exemple avec des personnes, on va se rendre compte qu'en face les personnes ont des besoins différents auxquels ils ont aussi besoin de répondre. et les gens aussi filtre leur environnement à travers une priorité de cerveau.
Donc. D'ailleurs, si on prend l'exemple dans les entreprises, c'est très clair. Un chef d'entreprise ou même un entrepreneur, il a une vision néo cortex. On pourrait dire il a un filtre qui mit par son cerveau humain en règle générale, à cause de son rôle qui est d'assurer la vision, par exemple du projet et un [00:12:00] salarié de l'autre côté.
On va peut être plutôt avoir une vision primitive parce qu'il aille dans une position où il a peut être peur de perdre son travail ou sa sécurité. Et donc quand on arrive à avoir conscience de ces filtres, c'est beaucoup plus facile. On va dire de s'adapter, d'adapter aussi son langage pour pouvoir conduire les gens et se conduire soi même à des points d'entente pour pouvoir travailler ensemble, atteindre un objectif ensemble.
Et c'est vraiment le propre de la communication, la communication. c'est comprendre son niveau de conscience et son mode de fonctionnement. À quel niveau? Aujourd'hui? Je suis donc par exemple, moi, je suis au niveau de mon cerveau primitif. Donc si quelqu'un arrive avec son filtre néo cortex, lui en parler vraiment de, de très haut de vision, de n'en attend-on podcast, il faut que tu ailles parce que ça, c'est un [00:13:00] investissement à long terme.
C'est une valeur que tu es en train de créer dans le monde. là aujourd'hui, ça ne sert à rien. Parce que là, moi, mon filtre, il est juste en train de dire non mais attends moi, j'ai juste envie d'aller dans ma cave et de me reposer parce que je ne me sens pas bien. Donc si quelqu'un veut m'aider, par exemple, que ce soit un ami, un coach, un partenaire, c'est important aussi qu'ils puissent adapter son language pour me trouver où je suis et pour pouvoir mener là où il veut aller et vice versa.
Moi aussi, parce que si moi j'ai ma propre conscience, d'où je suis, c'est beaucoup plus facile aussi de voir OK comment aussi je peux répondre aux besoins de mes autres cerveaux tout en écoutant mon besoin actuel. donc le propre de la communication, c'est d'essayer de comprendre son niveau de conscience et son mode de fonctionnement, mais aussi comprendre à quel niveau de conscience se place l'autre personne et qu'elle son mode de fonctionnement, que ce soit primitif, limbique, émotionnelle.
ou [00:14:00] corticale humain. Donc comprendre ces positions permet de s'adapter à soi même à la personne en face pour conduire la communication. Un point d'attente, ça me paraissait important aujourd'hui de parler de ça. Alors je sais que c'est pas très sexy de parler de cerveau, mais quand je vois et je parle aussi avec des clients ou même des amis entourage.
je me rends compte qu'on qu'on avance dans la vie sans être conscient de ça. Sans être conscients aussi de nos, de nos besoins et nos nos besoins. Ils sont charnelle. Quelque part, ils sont là. Qu'on le veuille ou pas, les fonctions de nos cerveaux sont là. On a besoin dans notre vie d'assurer notre survie, de d'assurer notre sécurité et de répondre à ce besoin.
qui nous a conduits à à l'être humain que nous sommes aujourd'hui. Parce que c'est grâce aussi à notre cerveau primitif que nous sommes là. Mais on a aussi besoin de sens. On a besoin de donner du sens à nos vies parce que [00:15:00] notre cerveau préfrontal, cortex va fonctionnent dans cette direction et on a aussi besoin de confort.
On a besoin aussi de tout ce plaisir. On a besoin de créer des émotions qui nous font du bien. Et ça, on le voit bien aujourd'hui dans notre société. Parce que la majorité des personnes vont constamment chercher du plaisir, des sources externes de plaisir pour se remonter le moral alors que si on était là à se poser à avoir cette conscience de nos besoins internes, à vraiment se poser la question, et pas seulement quand on monte un projet.
Mais même dans notre quotidien, est ce que je suis en train de répondre à ces trois plans? Est ce que je satisfait mes besoins? Est ce que j'écoute mes besoins? Est ce que j'arrive à adaptée et ajustée? Est ce que même je crée en fonction de ses besoins? C'est aussi intéressant, pas seulement de répondre sur le moment, comme l'a par exemple moi aujourd'hui.
parce que ça arrive aussi, ça arrive à tout le monde, on se réveille boum, on se sent vraiment pas bien mal à la [00:16:00] tête. Donc ça c'est pas forcément prévisible. Mais quand on planifie par exemple sa semaine, quand on planifie son moi, quand on planifie ses projets ou quand on a une vision à futur est-ce, qu'on a une vision globale, est ce qu'on a une vision complète?
Et ça, ça va déterminer votre façon d'agir, votre façon de penser, votre façon de sentir. votre façon aussi. d'atteindre votre objectif. Est ce que vous voulez atteindre votre objectif avec beaucoup de stress, avec de la souffrance et limite à respirer quand vous arrivez à la ligne d'arrivée ou est ce que vous voulez prendre du plaisir?
Est ce que voulait intégrer les besoins de votre cerveau limbique tout au long du processus? Est ce que Vous avez pensé aussi à votre cerveau primitif et son besoin, par exemple de survie. Est ce que vous avez pensé à l'aspect financier de votre projet et est ce que ça a du sens pour vous? Parce que quand on parle du sens, le sens [00:17:00] est complètement unique et personnelle, à chacun avec son système de croyance avec son bagage.
Qu'est ce qui a du sens pour moi? N'a pas forcément du sens pour vous, donc ça me paraissait important aujourd'hui. de vous parler de ça pour vous, Commencez un peu à vous observer et voilà le petit exercice que je vous propose aujourd'hui de faire, c'est vous poser et de demander aux qu'est. Qu'est ce qui a du sens pour moi?
Quand j'ai une vision, un futur, de quoi elle se compose, quelles sont les choses vraiment qui résonne et qui ont du sens? Et quand je vous parle de survie, est ce que vous pouvez décrire pour vous? Qu'est ce qui est la survie? parce que la survie pour vous, c'est avoir un un certain niveau financier. Est ce que c'est du matériel?
Est ce que ça a à voir avec votre santé? Est ce que ça a à voir avec votre famille? Est ce que ça a à voir avec de la sécurité? Qu'est ce que c'est pour vous? La survie? Et de l'autre côté, qu'est ce que c'est pour vous? Le confort. De quoi savoir comment ça, ce qu'on poserait [00:18:00] et limite un peu quelque part de construire une ligne de base?
qui est pour vous peut être, limite un kit de survie. Quand je dis par le kit de survie, c'est vraiment les choses prioritaires qui doivent composer votre quotidien, qui doivent composer vos projets pour pouvoir répondre à ses besoins. Parce que, comme je vous disais, ces cerveaux interagissent ensemble, ils filtrent votre vision sur l'environnement.
Donc s'ils sont déséquilibrés, si un crie famine entre guillemets. parce qu'il n'a aucun besoin qui est alimenté. Vous allez avoir un déséquilibre interne et d'ailleurs le cerveau primitif. Pour info, ça va être un peu le cerveau prioritaire qui on va poser le plus de problèmes aux gens au quotidien.
parce que quand le cerveau reptilien décide quelque chose en règle générale, les autres cerveaux, ils ont pas grand chose [00:19:00] à dire. Parce que, comme il considère que le cerveau primitif est prioritaire car il assure la survie, ils vont tous aller l'écouter. C'est pour ça aussi qu'on finit par manger contre notre gré, fumer contre notre gré, boire plus qu'on avait prévu.
parce que notre cerveau primitif, il associe toutes ces doses excessives de plaisir de des ces doses concentrées à de la survie est quelque chose qui est très important. Donc il va mettre toute son attention sur sa. Donc quand on a un déséquilibre en règle générale, on finit par vivre dans la réaction.
On finit par ne plus pouvoir contrôler ses gestes quelque part. parce que notre cerveau primitif est très fort à réagir très vite et à prendre des décisions sur le moment qui ont toujours à voir avec un instinct de survie et un instinct très réactif. Donc quand on veut éduquer nos cerveaux parce qu'on parle beaucoup de ça en développement personnel, [00:20:00] moi ce que je vous dirais en premier lieu, Posez vous la question.
Si vous êtes en train de répondre au besoin de vos trois cerveaux, est ce que vous avez pas un déséquilibre? Est ce que vous arrivez à prendre conscience de leur fonctionnement? Est ce que vous arrivez à prendre conscience de ses besoins? Est ce que vous y répondez aujourd'hui? Ce que je fais, c'est que je vais plutôt rééquilibrer ma journée parce que je sens que mon cerveau primitif.
Il est en train de faire beaucoup de bruit, mais en même temps enregistré cet épisode, c'est ce qui avait du sens pour moi aujourd'hui. Donc je sentais aussi que si je ne faisais pas, j'allais pas répondre à ce besoin, mais aussi une priorité aujourd'hui de survie dans ce sens que mon corps est en train de me lâcher parce qu'il est vraiment très fatigué.
Donc je vais aller me reposer après avoir fini cet épisode. je vais voir de quelle façon je peux apporter du réconfort, comment je peux répondre à ses [00:21:00] besoins pour pouvoir être aligné à la personne que je veux être et ne pas être dans la réaction et surtout pour limiter ces conversations incessantes?
Parce que oui, on peut travailler sur tout son système de pensée. On peut travailler sur son corps, mais il y a un manque en un déséquilibre interne. C'est beaucoup plus difficile de travailler sur soi même. C'est beaucoup plus difficile de rediriger son cerveau. donc je vous invite à amorcer une réflexion sur le fonctionnement biologique de votre cerveau.
Je vous invite à réfléchir. Qu'est ce que ça veut dire pour vous avoir du sens? Qu'est ce que ça signifie pour vous? La survie de la sécurité, Qu'est ce que ça signifie pour vous? Le confort? N'hésitez pas à partager dans les commentaires de cet épisode ou sur les réseaux sociaux avec le hashtag être audacieuse Qu'est-ce que pour vous signifie ces trois points.
je vais aller me reposer et on se parle au prochain épisode.